D’après les cendres
d’Antoine Läng, sur texte et voix de Benoît Damon
Cette pièce arpente trois passages d’un récit, ses chemins inscrits dans des rebours, fouille les sols où la vie peut crépiter encore, du souvenir au récit à la parole, au rythme patient d’une voix remuée par les manipulations microphoniques qui délivre à mesure qu’elle redit, ces cendres qu’elle souffle, ne plus attiser un feu, se réchauffer dans l’envol.